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jeudi, 19 octobre 2006

Répugnant

Arc-au-Zizi continue à donner des gages à la partie la plus bête de son électorat, continue à surenchérir dans la démagogie dégoulinante et poursuit ses annonces ridicules, grotesques, qui sont de simples rodomontades à visées électoralistes.

Voilà qu’il veut envoyer aux assises les auteurs d’agressions contre policiers, gendarmes et pompiers. Il insiste, prononçant le mot magique et terrifiant plusieurs fois au cours de sa déclaration.

Outre le fait qu’un procès d’assises coûte une fortune à organiser et qu’il s’agit d’une machinerie si lourde qu’on n’aura jamais le temps de la mettre en route avant qu’un autre procès ne s’avère nécessaire, et ainsi de suite ; outre que cette canaille a mis l’accent sur la présence, aux assises, de jurés, c’est-à-dire de citoyens (et l’on imagine déjà Dupont-la-Joie se gargarisant : « Ah, maintenant, ils vont voir ! ») ; il reste que, la peine de mort ayant été abolie il y a déjà quelque temps, un procès d’assises n’a heureusement pas d’autre conséquence que celle d’une comparution en correctionnelle. Qu’encourt-on de plus ? La perpétuité ? L’échelle des sanctions ne sera pas modifiée, les peines seront donc du même ordre que celles prononcées par une juridiction moins importante. Au vrai, on risquerait, je crois, quinze ans de détention au lieu de dix. Ce n’est certainement pas ce qui fera réfléchir des personnes prêtes à agresser des policiers. La répression, ça ne marche pas. Jamais. Vouloir criminaliser l’agression contre un porteur d’uniforme n’est qu’un « effet » comme cherchent à faire, sur la scène, les plus mauvais comédiens. Arc-au-Zizi parviendra-t-il, d’ici l’élection présidentielle, à accomplir un « effet » par jour ?

La criminalité n’a cessé d’augmenter depuis qu’il est ministre de l’Intérieur. Tout ce qu’il dit, tout ce qu’il fait, c’est du vent.

16:25 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (11)

dimanche, 15 octobre 2006

Le juke-box des démagos

Ma fille Fanny m’a envoyé un lien aboutissant à un florilège de chansons « politiques », disons plutôt de chansons « électorales ». Machines à gagner ou seulement à convaincre, ridiculissimes sommets de nullité, qu’il s’agisse du texte ou des mélodies, avec des recherches d’effets de mode dans les orchestrations… Ces chansons grotesques et démagogiques montrent assez combien on peut détourner une réalité historique – la chanson a toujours accompagné, rythmé, scandé l’histoire – pour en faire un fatras, un brouet, une mauvaise charcuterie. À vos risques et périls. Si vous ne craignez pas l’eau de vaisselle, suivez ce lien.

22:36 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (10)

vendredi, 13 octobre 2006

Suzilène, 18 ans, expulsée par charter secret

Communiqué RESF

Suzilène, lycéenne capverdienne de dix-huit ans et demi, élève du LP Valmy à Colombes (Hauts-de-Seine) a été expulsée hier, 12 octobre, au bout de douze jours de rétention.

Dans cette affaire, le ministère de l’Intérieur a donné toute sa mesure. D’abord en arrachant à sa mère et à son petit frère une toute jeune majeure et en l’exilant dans un pays où elle n’a plus d’autre attache que sa grand-mère de quatre-vingt trois ans.

Ensuite en maniant l’insinuation et la calomnie comme le font systématiquement, dès qu’il y a mobilisation, le cabinet du ministre et les préfets sous l’égide de M. Sarkozy. Suzilène a, en effet, été présentée comme une « délinquante », ce qu’elle n’est pas, ses enseignants et ses camarades en témoignent. Ce dont on l’accuse est du domaine de l’intime et ne mérite certainement pas le bannissement ni n’autorise les préfets, et les bien-pensants qui entourent le ministre, à faire les poubelles, à porter atteinte à la vie privée d’une gamine de dix-huit ans et à colporter des ragots.

De la même façon, sous la houlette de M. Sarkozy, la police prend des habitudes de police secrète : les retenus disparaissent, ignorant le lieu où ils sont conduits, celui où ils se trouvent. Au contraire, de fausses informations destinées à égarer ceux qui les soutiennent leur sont communiquées. C’est ainsi qu’il a été dit à Suzilène qui l’a répété au téléphone à l’un de ses enseignants, qu’elle atterrirait à Lisbonne à 18 h 20 : c’était orienter délibérément sur une fausse piste les élèves et les professeurs désireux de la soutenir. De fait, plusieurs dizaines d’entre eux, des syndicalistes d’Air-France, le sénateur Jean Desessard se sont retrouvés à Orly-ouest pour manifester pendant deux heures et interpeller les passagers du vol de 17 h 10 à destination de Lisbonne. Suzilène n’était pas à bord mais son expulsion ne s’est pas faite sans tapage.

En fait, selon les policiers présents à Orly, elle aurait été expulsée à 14 h 30 sur un avion militaire, en compagnie d’autres expulsés. Un charter secret !

Enfin, alors même que Suzilène est au Cap-Vert d’où elle a téléphoné à sa mère, le ministère de l’Intérieur continue de mentir en faisant répondre par ses employés (certains de bonne foi) à ceux qui l’interpellent que la décision d’expulsion n’a pas encore été prise et que des réunions se tiennent à ce sujet. Cela étant, il n’est pas dit, loin de là, que le ministre de la Chasse à l’enfant ait gagné la partie. Le lycée Valmy reste plus que jamais en grève. Une réunion intersyndicale est prévue le 13 dans l’après-midi pour mettre en place l’extension de la mobilisation. Il est, en effet, inenvisageable que des élèves soient expulsés. M. Sarkozy vient de montrer qu’il ne recule devant rien pour braconner quelques voix à l’extrême-droite. La seule protection qui vaille maintenant pour les élèves et les parents menacés est leur régularisation immédiate et sans condition. N’en déplaise au gouvernement !

Vendredi 13 octobre 2006.

22:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 15 septembre 2006

Une stratégie élémentaire

Ce qui me dégoûte le plus, chez les hommes politiques, c’est qu’ils nous prennent systématiquement pour des imbéciles. C’est insupportable. Vraiment, cela me débecte.

Il y a quelques jours, Fillon fait une sortie à propos des régimes spéciaux de retraite. Toute la droite, comme un seul homme, se cache le visage et crie à l’importun : « Mais enfin, pourquoi parle-t-il de ça ? Ce n’est pas le moment. » La gauche ne fait pas mieux. Les syndicats disent qu’ils ne commenteront pas.

À qui fera-t-on croire que Fillon a fait une bourde incompréhensible ? Tout cela est voulu, planifié, orchestré. Là-dessus, Arc-au-Zizi, depuis les États-Unis où il joue au président, s’étonne : « Je ne comprends pas la polémique », dit-il. Eh, tiens !

Voilà comment on annonce officiellement ce qu’on va faire, lorsqu’on sera élu. On envoie le fidèle lieutenant Fillon au casse-pipe. Oh, pas énorme, le casse-pipe. En moins d’une semaine, l’indignation (feinte) a cessé. Arc-au-Zizi, bien au contraire, s’en tire avec tous les honneurs. Il passe pour un homme franc, qui annonce avant ce qu’il fera après, rompant ainsi avec la langue de bois, l’opacité, la démagogie.

Maintenant, il va y avoir des réactions. On parle de grève de la SNCF au mois d’octobre. C’était bien évident. C’est le deuxième ressort de la politique arc-au-zizienne. Il va faire supporter le poids du mécontentement par le gouvernement actuel, si bien que, lorsqu’il arrivera, lui, eh bien, toute l’agitation sera retombée et, résignés, les intéressés ne diront plus rien. Il vaut mieux mettre les pieds dans le plat tant qu’il est servi aux autres. Passez muscade.

Car au vrai, plus personne n’imagine un instant que les régimes spéciaux vont subsister. Ils sont les derniers. Après Balle-Dure en 1993, Gros-Couffin en 2003, à qui l’on a cédé, qui peut penser un instant qu’il demeurera quelques professions qui n’auront pas le même statut que les autres ? Surtout, qui voudra admettre que les conditions de travail des salariés de la Banque de France nécessitent un régime différent ? Ils ont déjà fait savoir qu’ils refusaient de passer au statut, disons commun. Qui va les soutenir, dans l’opinion ? Et qui les prendra au sérieux (ils sont 14 400 salariés.) Au total, cinq millions de personnes seulement (si j’ose écrire) sont concernées. Ils ne feront pas le poids.

Il y aura des barouds d’honneur, mais c’est perdu d’avance. Je me rappelle avec terreur les trois semaines de grève de la fin de l’année 1995, en France en général, à Paris en particulier. Plus de transports du tout, cinq à six heures quotidiennes au volant, à dix à l’heure dans le meilleur des cas. Je me rappelle le boulevard Diderot, un soir, coincé sur six files dont quatre à contre-sens. Heureusement, il ne s’était pas mis à neiger sur tout ça. C’eût été la retraite (!) de Russie. Ça va recommencer, peut-être à moindre échelle. Mais c’est perdu d’avance. Conduire des rames de métro toute sa vie est naturellement difficile et vivre la plus grande partie de son temps dans des tunnels n’est certainement pas sans répercussions sur la santé ou le psychisme. Qui admettra cependant que les salariés de la Comédie-Française, eux, exercent des fonctions plus pénibles que les autres ? Je ne nie pas leurs contraintes, celles des horaires, notamment, mais c’est le cas de toutes les personnes qui travaillent à l’heure où les autres ne travaillent plus. Ça ne vaut pas un régime de retraite particulier. En tout cas, l’opinion ne l’admettra pas.

Après les grèves qui s’annoncent, l’hiver passera et, au printemps, Arc-au-Zizi arrivera. Patience, mes amis, l’horrible reste à venir.

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14:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (19)

jeudi, 29 juin 2006

Raffariségolinade

Selon Le Monde du 29 juin, Ségolène Royal a déclaré : « Sans leur histoire, les socialistes ne seraient pas ce qu’ils sont. » Elle se surpasse, vraiment. C’est une véritable raffarinade.

12:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1)

mercredi, 24 mai 2006

Anticipation du futur pas encore là

Le 23 mai, sur le site du Monde, Ségolène Royal a participé à un chat. Au cours de cet échange, elle a eu cette phrase remarquable : « Par déontologie, je m’abstiens de toute anticipation sur des événements qui ne sont pas encore arrivés. »

10:06 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (7)

samedi, 15 avril 2006

Édifiant

Histoire de ne pas oublier qu’il existe toujours, en France, des municipalités fascistes, on peut lire un article du Monde.

19:15 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 11 avril 2006

La presse

Selon la revue de presse fournie par Le Monde, « ce retrait est une humiliante défaite politique, à la fois pour M. Chirac et pour son protégé, Dominique de Villepin » (New York Times). Quant au Guardian, il estime que la « prévisible décision [de Chirac] conclut parfaitement une présidence de dix ans qui n’a conduit nulle part. » Il écrit aussi : « Raymond Barre, Édouard Balladur, Alain Juppé et maintenant Dominique de Villepin : au cours des trente dernières années, tous ceux qui ont tenté de guérir la France d’une économie sclérosée ont échoué. »  Le Christian Science Monitor estime que c’est « une perte pour la flexibilité du travail, dont la France et une grande partie de l’Europe ont désespérément besoin ». « Que la France ait besoin d’une réforme de son code du travail, personne ne le discute », affirme El Pais.

 

Ce ne sont là que des extraits. Je vous invite à lire la totalité de l’article si vous voulez rire un peu. C’est le texte d’El Pais qui m’amuse le plus. « Personne ne le discute » : si, les Français. Excusez-les.

15:58 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (14)

lundi, 03 avril 2006

Ainsi donc

Ainsi donc, pour la première fois dans l’histoire de la République, cinquième du nom, le Premier ministre est allé conférer avec le président de la République, au matin d’une allocution qu’icelui devait faire, pour se mettre d’accord avec lui sur le contenu de la susdite allocution.

 

Ainsi donc, pour la première fois dans l’histoire de la République, cinquième du nom, le président, aux ordres de son Premier ministre,  a promulgué une loi qu’il a rendue inutile, en recommandant lui-même de ne l’appliquer point.

 

Ainsi donc, pour la première fois dans l’histoire de la République, cinquième du nom, le Premier ministre s’est, par la voix du président, auto-désavoué, tout en assurant à la presse qu’il n’avait pas du tout le sentiment de l’avoir été.

 

Ainsi donc, pour la première fois dans l’histoire de la République, cinquième du nom, une loi, tout ce qu’il y a de plus valable constitutionnellement, régulièrement promulguée par qui de droit, publiée au Journal officiel, immédiatement applicable sur l’ensemble du territoire, est mise en sommeil en attendant qu’une autre loi vienne la modifier sur deux points.

 

Ainsi donc, pour la première fois dans l’histoire de la République, cinquième du nom, la majorité, par la voix du président de l'Assemblée nationale, va présenter une proposition de loi  pour modifier la loi existante. « Je souhaite que ce soit dans dix jours », a dit le président de l’Assemblée.  Bien entendu, ce projet de loi sera certainement voté puisqu’il est présenté par la majorité.

 

Ainsi donc, pour la première fois dans l’histoire de la République, cinquième du nom, une nouvelle loi votée par une majorité modifiera une loi votée par cette même majorité, à la demande du président de la République qui n’aura pas voulu s’aliéner le Premier ministre en le désavouant, alors que le Premier ministre en question a accepté sans le dire que son projet soit remis en cause sur deux points dont la majorité du peuple ne veut pas, donc s’est désavoué lui-même en disant qu’il ne l’avait pas été par le président.

 

Évidemment, ça doit avoir une drôle de tête, une incohérence pareille, à l’étranger. Vous savez, cet étranger dont, toute la journée, on nous répète qu’il a su moderniser (comprendre : revenir en arrière) et qu’il faut suivre son exemple (comprendre : baisser la tête et accepter).

 

Il est vrai que tout cela se passe dans un pays dont le président a été élu avec les voix de ses adversaires qui ont, à leur grand dam, voté pour lui.

 

Oui, c’est compliqué. Il faut suivre.

10:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (20)

mardi, 28 mars 2006

Bordeaux, 28 mars 2006

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20:51 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (8)

mercredi, 08 février 2006

Clivage

On manifestait hier partout en France contre le « contrat de première embauche » (CPE). Il semblerait, à première vue, que ces rassemblements n’aient pas été un succès. Empruntant ce matin le métro, j’observe, à l’étal du marchand de journaux, les titres suivants :

 

« CPE : Villepin désavoué » (L’Humanité).

« CPE : l’échec de la mobilisation » (Le Figaro).

 

À part ça, il n’y a plus de clivage gauche-droite, cette séparation est abusive, elle ne signifie plus rien, ainsi qu’on nous le répète sans cesse. Mais voyons… La lutte des classes n’a jamais été aussi forte, aussi urgente, aussi dure et douloureuse qu’en ces temps de morgue triomphante et de désastre social.

 

La vérité, si elle existe, se trouve très probablement, comme d’habitude, entre ces deux points de vue. Le Parisien parle de « demi-échec » des manifestations. C’est oublier qu’un demi-échec suppose nécessairement un demi-succès.

 

Un de mes amis, avec qui, sans doute, je ne suis d’accord en rien politiquement mais que je persiste à aimer pour mille et une raisons (et surtout parce que je sens en lui un cœur qui bat, ce qui n’est déjà pas mal) écrit dans son journal, à propos de Mittal Steel, groupe anglo-néerlandais qui désire absorber Arcelor : « Des empires s’affrontent, des stratégies se construisent, nous manifestons contre le CPE. » Il semble oublier que, justement, les intérêts de ces empires ne sont pas ceux des manifestants.

 

À part ça, il n’y a plus de clivage… Pardon, je me répète.

11:18 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (14)

mardi, 07 février 2006

Obligation de réserve, nouvel épisode

Un vice-procureur chargé des mineurs à Pontoise fait son travail, c’est-à-dire qu’il fait appliquer des instructions avec lesquelles il est en désaccord. Dans la presse, en revanche, il publie des tribunes libres où il exprime son point de vue, mettant en cause un ministre de l’Intérieur dont il souligne la « virilité télégénique »  et la « démagogie », au nom de la liberté d’expression reconnue par la Constitution et que lui accorde également son statut de magistrat. On lui oppose cependant les classiques notions d’obligation de réserve et de prudence, si bien qu’il a reçu, le 2 février dernier, un avertissement. Le procureur général près la cour d’appel de Versailles doit prochainement lui notifier cette sanction. Lire larticle du Monde.

14:15 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (7)

mardi, 17 janvier 2006

Paranoblogueuse, par Martine Layani-Le Coz

Les derniers discours des individus qui dirigent notre pays laissent voir des dents de loup à travers leur soi-disant volonté protectrice. Comme, en face, la fin de la récréation n’a pas encore sonné, on peut se demander dans quelle échoppe, en 2007, va se vendre notre fonds.

Par ailleurs, il semble que les ondes radiophoniques et même la télévision donnent un coup de loupe sur les blogs. Les institutions qui s’intéressent au « bon fonctionnement de l’État » et ont été stupéfaites des résultats négatifs de la question européenne, vont faire en sorte qu’on ne les y prennent plus… Je ne serais pas étonnée si, dans les temps qui précèderont le vote, les communications sur internet avaient quelques problèmes, disons… techniques. Mais je suis peut-être un peu paranoïaque.

Je pense vraiment qu’il faut ne pas attendre qu’on nous prenne cette fameuse liberté de réunir, rassembler, discuter – fonctions démocratiques – et chercher dès à présent à faire surgir, si ce n’est un homme, une idée en quoi avoir confiance pour le jour de 2007 où il faudra changer la tête du mannequin présidentiel.

20:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (11)

lundi, 16 janvier 2006

Au Chili

La socialiste Michelle Bachelet a été élue première présidente du Chili. À ce sujet, je vous invite à lire la note de Richard sur son blog Avant la lettre. 

11:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (4)

lundi, 03 octobre 2005

Pétition

Reçu de Belgique une pétition contre la directive Bolkestein.

http://www.stopbolkestein.org/index.cfm?Content_ID=1000

10:19 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 30 septembre 2005

À bas les misogynes

Je relaie la note publiée par Luc Bentz, le 28 septembre dernier, sur Blog à part. Elle est intitulée Vieux démons.

 

http://lucbentz.hautetfort.com/archive/2005/09/28/vieux-d...

 

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11:50 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (11)