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mardi, 04 septembre 2007

Mes ennuis de l’été

Le temps pourri, évidemment. Il est pourri depuis début mai et les mauvaises langues datent le début du mauvais temps du soir de l’élection de Sarkozy.

Conséquemment au mauvais temps en question, j’ai commencé mes vacances en étant malade durant dix jours.

J’ai eu mal au dos, mal aux reins, mal à la nuque, mal partout.

J’ai eu une crise de foie.

J’ai eu des allergies.

J’ai été piqué par une guêpe, alors que je m’étais abrité sous une bâche pour échapper à la pluie.

Ma voiture est tombée en panne de batterie un vendredi soir à 18 h 55, ce qui m’a laissé cinq minutes pour m’assurer que rien ne pourrait être fait avant le lundi suivant et téléphoner ensuite à l’office du tourisme où j’avais réservé un ordinateur afin de dire qu’on pouvait en disposer puisqu’il m’était impossible de venir.

Mon courrier a été fidèlement réexpédié par les services postaux à l’exception d’un envoi dont, précisément, j’avais besoin.

Je pense qu’il y eut d’autres choses, mais il ne faut pas se complaire dans l’apitoiement. Ce fut un été délicieux.

11:45 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (8)

Commentaires

Ah, je compatis, Jacques. L'été n'est jamais une saison très heureuse, finalement. Le mien fut endeuillé par deux disparitions tragiques. Mais je constate avec plaisir que tu es toujours là et j'ai envie de croire que cet automne te sera faste.

Écrit par : Richard | mardi, 04 septembre 2007

Merci pour tes bons souhaits, Richard. Justement, j'ai aussi appris, hier seulement, une disparition tragique survenue le jour de mon départ en vacances.

Finalement, à côté de l'horreur, le retard de six jours apporté à tes bagages, c'est plutôt drôle, non ?

(Pour ceux qui ne comprendraient pas, lire le blog de Richard).

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 04 septembre 2007

C'est complètement superflu, oui ! Avec le recul, j'aurais très bien pu passer mes vacances entières avec deux slips et un tee-shirt. L'habit ne fait pas le bonheur.

Écrit par : Richard | mardi, 04 septembre 2007

Cher Jacques,

Je me joins à votre déception pour cet été "raté" sans y voir de rimes malencontreux...Cela fait longtemps que je ne suis pas venue vous voir, peut-être aurais-je dû passer semer un peu de bonne humeur (?).

Beaucoup de choses ont changé depuis nos derniers échanges. Désormais, je ne suis plus "l'étudiante" de Guillaume, et ne pourrai plus l'être puisque nous sommes "collègues". Oui, j'avoue, il a un bagage universitaire un peu plus lourd que le mien, mais bon, est-ce le principal après tout?

Je n'ai toujours pas ouvert de blog (trouve pas de titre...(excuse bidon, je sais)). Je reviendrai voir comment se déroule cette rentrée (tant attendue..?).
Amitiés,

Écrit par : Aurélie | mercredi, 05 septembre 2007

Oh, mais c'est la petite Aurélie qui a grandi et est devenue notre collègue. C'est amusant : quand ma fille est devenue professeur, elle a dit avec un air étonné : "Ben ? Je suis devenue la collègue de mes parents". Et voilà, vous aussi...

Pas de titre pour votre blog ? "Aurélie parle aux Réliens". Non ? Pas terrible ? "Aimez-moi !" Non ? Pas prudent ? "Aurélie n'écrit jamais" ? Non ? Pas d'antiphrase ?

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 05 septembre 2007

J'aime bien "Aurélie parle aux Réliens". Quant à "Aimez-moi", c'est l'impression que je vous donne?? (wouohh, ça alors...). Je cherche, je cherche, finirai bien par trouver.
Alors comme ça, votre fille est professeur? J'avoue, moi aussi, devenir la "collègue" de mes parents...

Écrit par : Aurélie | mercredi, 05 septembre 2007

Ce n'est pas l'impression que vous me donnez, mais tout le monde aime être aimé, ça vaut mieux qu'un coup de pied au derrière, non ?

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 05 septembre 2007

Oui M'sieur!

Écrit par : Aurélie | mercredi, 05 septembre 2007

Les commentaires sont fermés.