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mardi, 07 novembre 2006

Viens chez moi, j’ai des gisants

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La taulière, en août 1994, sur la tombe de Rimbaud, à Charleville.

La taulière, en novembre 2002, sur la tombe de Flaubert, à Rouen.

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21:25 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (10)

Commentaires

Des gisants, mais où donc ? Des stèles, soit.

Écrit par : Dominique | mardi, 07 novembre 2006

Natürlich. C'était un mot, à partir de "Viens chez moi, y a du feu", de "Tu viens, chéri ?", de "Viens chez moi, j'ai des caramels (ou tout autre mot)".

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 08 novembre 2006

Ça me fait plutôt penser à "Viens chez moi, j'habite chez une copine"...

Écrit par : lamkyre | mercredi, 08 novembre 2006

Drôle de copine (ou même de copain)...

Jacques a parfois des délires.

Écrit par : Martine Layani | mercredi, 08 novembre 2006

Vive le délire !

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 08 novembre 2006

Des stèles, d'Estelle... (Le délire est contagieux). Tu as oublié "Viens chez moi, j'ai des estampes japonaises". Un classique pourtant.

Écrit par : fuligineuse | jeudi, 09 novembre 2006

"Viens chez moi, j'ai des Gitans." (Tony Gatlif)

Écrit par : MuMM | jeudi, 09 novembre 2006

« Viens chez moi, j'ai des gitants ». Comte de La Pérouse.

Écrit par : Dominique | jeudi, 09 novembre 2006

« Vien ché oim, gé dé zanji ».

Écrit par : Jacques Layani | vendredi, 10 novembre 2006

Viens chez moi, c'est trop d' la balle qui déchire sa race.

Écrit par : MuMM | vendredi, 10 novembre 2006

Les commentaires sont fermés.