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mercredi, 18 octobre 2006

À la manière de Raffarin

Les lumières de la banalité éclairent pâlement mais elles sont vraies.

Parcourir le chemin, c’est déjà faire route ensemble.

Je ne sais pas si mon soutien est réel, je sais qu’il existe.

Toujours sur la route, toujours au travail, j’irai droit au but, quels que soient les tournants.

Sur mon agenda, entre mes obligations, se distingue en filigrane mon emploi du temps.

Je sais ce que c’est qu’être premier ministre. C’est être un ministre premier.

Mon devoir est là, il ne servirait à rien de ne pas en tirer les leçons.

L’avenir est toujours ouvert devant.

15:20 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (4)

Commentaires

Ah ah ah ! Mon rire de ce morne mercredi après-midi. Le pire, c'est que le bougre a un blog, loin d'être aussi drôle.

Écrit par : Richard | mercredi, 18 octobre 2006

Eh oui. Et tandis que nous nous moquons de lui, ce triste sire sans allure continue sa tâche de termite (pardon pour l'allitération.)

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 18 octobre 2006

Je rappelle qu'il existe une page indispensable pour composer des raffarinades et c'est ici :
http://monsu.desiderio.free.fr/curiosites/raffarinades.html
(Il faudrait que j'actualise un peu quand même.)

Écrit par : Dominique | mercredi, 18 octobre 2006

Ah, diable ! J'ai négligé ce site si chouette !

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 18 octobre 2006

Les commentaires sont fermés.