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dimanche, 08 octobre 2006

Il ne faut jamais remettre à plus tard

Un jour, j’ai eu l’intention d’écrire une histoire du disque et de l’enregistrement sonore. J’avais établi le 11 décembre 2002 un premier jet de plan, autant dire pas grand-chose. Pourtant, l’idée était fermement ancrée dans mon esprit. Mais on ne peut pas tout faire, et j’avais bien dû remettre ce travail à plus tard. J’ai confié le plan à Martine, qui l’a encore dans ses papiers. Je le relis aujourd’hui. Le titre prévu était Disque, mon ami - Une histoire de l’enregistrement sonore.

Il y a quelques mois de cela, j’ai trouvé chez un ami L’Histoire du disque et de l’enregistrement sonore, posé sur une table. Le livre existait. On l’avait fait. J’ai râlé mais bah ! l’important était que l’ouvrage existât. Comme il me paraissait important que ce travail fût réalisé, je ne pouvais que m’en réjouir. Il avait paru en 2004 sans que je m’en aperçoive. Toujours cette question de la diffusion et de l’information, de la publicité au sens premier.

Je n’ai pas pu l’acheter, on ne le trouvait déjà plus. Toujours cette question de la diffusion, du stockage, des délais de garde en librairie… Toujours les mêmes questions, d’ailleurs, tout le temps.

Il vient d’être remis en vente sous une jaquette différente de la première. Je suis en train de le lire, c’est très intéressant. Je regrette que ce ne soit pas suffisamment écrit et qu’en quelques endroits, l’auteur n’ait pas su vaincre une tendance au charabia. Mais c’est minime.

Daniel Lesueur, L’Histoire du disque et de l’enregistrement sonore, Carnot, 2004.

17:10 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Ce qui est étonnant, c'est qu'une telle histoire n'ait pas existé auparavant. Qu'est-ce qui vous intéressait dans cette histoire tout particulièrement, au point d'en faire un livre?

Écrit par : gluglups | lundi, 09 octobre 2006

Un amour ancien du disque, du microsillon. De manière générale, un intérêt pour la reproduction du son, qui remonte à très longtemps. Un intérêt aussi pour les faits de civilisation (quatre à six milliards de disques mis en circulation depuis le XIXe siècle, ce n'est pas rien), l'archivage (ici : sonore), l'histoire des mentalités et du mode de vie en général.

Écrit par : Jacques Layani | lundi, 09 octobre 2006

Les commentaires sont fermés.