jeudi, 06 avril 2006
La bannière
La bannière que vous voyez en ce moment est la première d’une histoire en quatre épisodes. Soyez attentifs. Les changements se feront chaque soir, entre dix-huit et vingt heures.
7 avril, 18 h 15 : voici le deuxième volet.
8 avril, 18 h 10 : voici le troisième volet.
9 avril, 18 h 12 : voici le quatrième et dernier volet.
19:40 Publié dans Cour de récréation | Lien permanent | Commentaires (21)
Commentaires
Chic ! Une histoire à suspense ! Il n'y en a pas que dans les commentaires de mon blog... :-)
Écrit par : Richard | jeudi, 06 avril 2006
Et dans le plus pur style "Détective"... Patrick Dalmasso a encore frappé.
Écrit par : Jacques Layani | vendredi, 07 avril 2006
Merci pour l'éclat de rire !
Écrit par : Benoit | vendredi, 07 avril 2006
Et ce n'est pas fini...
Écrit par : Jacques Layani | vendredi, 07 avril 2006
Fallait oser... Pas de cerveau, alors ?
Écrit par : Guillaume | samedi, 08 avril 2006
Cette série est aussi horrible que le journal auquel elle fait référence. Et ça va continuer.
Écrit par : Jacques Layani | samedi, 08 avril 2006
Ça manque quand même de sang vraiment sanguinolant, de monstres génétiques, de sexe (même si les allusions pédophiles et incestueuses sont bienvenues dans ce contexte) et de trucs vraiment turpides comme des crimes commis en bande, avec voyeurisme ou des actes de zoophilie (j'attends que l'on apprenne enfin le rôle du poisson rouge ou du canari des Layani dans l'écriture de leurs textes). C'est plus le Détective des années cinquante que celui vraiment crade de la fin des années septante. Je suis déçu.
Écrit par : Dominique | samedi, 08 avril 2006
C'est effectivement plus années cinquante, comme ambiance et comme propos. Mais enfin, c'est à Patrick qu'il faut s'adresser. Il est l'entier concepteur des bannières.
Écrit par : Jacques Layani | samedi, 08 avril 2006
Mouais. Mais je voudrais vraiment du sang, du sperme, des larmes et de la sueur à la une, parce que là ça manque de nerf. Pas assez crapoteux à mon avis !
Écrit par : Dominique | samedi, 08 avril 2006
Dominique a raison. Cette bannière pourrait presque être celle du journal /La Croix./
Écrit par : Stéphane De Becker | dimanche, 09 avril 2006
Ah, Patrick n'a pas prévu ça.
Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 09 avril 2006
attendez de voir la dernière bannière...
je suis plongé dans les journaux des années 30 en ce moment et c'était assez trash !
c'est à ça que j'ai voulu faire allusion...
je me suis planté apparemment !
mon erreur c'est la typographie : pas assez connotée années 30...
Écrit par : Patrick | dimanche, 09 avril 2006
Non non, tu ne t'es pas planté. On voit bien d'où viennent les images, je veux dire de quelle époque. Effectivement, la typographie est plutôt des années cinquante. Mais nos amis plaisantent.
Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 09 avril 2006
Nous, plaisanter ? Il est 18 h 07 et je réactualise cette page toutes les minutes.
La preuve : il est 18 h 08.
Écrit par : Stéphane De Becker | dimanche, 09 avril 2006
Eh bien c'est fait, à 18 h 12.
Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 09 avril 2006
Il n'empêche : les grands dessins au lavis de Di Marco (dessinateur de Pif-Vaillant, rappelons-le) possédaient une sorte de poésie que les photos un peu sales des années suivantes n'auront jamais. Je trouve rétrospectivement cela un peu étrange d'avoir passé mon enfance dans une atmosphère de contes de fées : il y avait l'horreur au coin de la rue quand on sortait de l'école, à la devanture du buraliste qui vendait les vignettes Panini, les Mistral Gagnant et les petits Mickey, cela parlait de choses épouvantables, de contes pour adultes auxquels on ne comprenait rien et auxquels on n'avait pas droit, mais il y avait une sorte de distance malgré tout parce que comme c'était dessiné, cela ne pouvait pas être tout à fait vrai qu'elle ait découpé son mari pour le servir comme rôti à ses enfants.
Écrit par : Dominique | dimanche, 09 avril 2006
Chers amis, profitez bien de ce commentaire de Dominique. Ce n'est pas tous les jours qu'il parle de lui, même en analysant socio-culturellement des journaux et une époque. Il n'est d'ailleurs jamais aussi touchant que quand il évoque son enfance, de loin en loin.
Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 09 avril 2006
Jacques : « Il [Dominique] n'est d'ailleurs jamais aussi touchant que quand il évoque son enfance, de loin en loin. »
J'en ai les larmes aux yeux.
Qui a osé dire : « Quelles larmes ? »
Écrit par : Stéphane De Becker | dimanche, 09 avril 2006
Viennent-elles de Bigorre ?
Écrit par : Guillaume | lundi, 10 avril 2006
Sur la nouvelle bannière, il y a sans doute un œuf de Pâques. Mais comment l'ouvrir ?
Écrit par : Stéphane De Becker | lundi, 10 avril 2006
Pas d'œuf de Pâques sur la bannière, me signale-t-on. Simplement, en cliquant sur certaines parties de la bannière (quand la flèche devient une main blanche), on revient à la dernière page publiée sur le site.
Écrit par : Stéphane De Becker | dimanche, 16 avril 2006
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