jeudi, 09 février 2006
Nous reviendrons bientôt
17:30 Publié dans Cour de récréation | Lien permanent | Commentaires (17)
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Commentaires
Bonnes vacances. Et revenez vite, vous nous manquez déjà.
Écrit par : Pierre B. | dimanche, 12 février 2006
Les Bronzés 3 c'est fin nul.
Écrit par : Jul | lundi, 13 février 2006
Bonjour, nous sommes revenus ce matin. Merci de vos petits signes durant notre absence. A tout de suite.
Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 15 février 2006
Ben... Il met du temps le nouvel article, cela promet d'être long...
Écrit par : Dominique | mercredi, 15 février 2006
Euh... Pas un mot n'a été écrit. Des travaux en retard, des choses à faire, bref... Mais ça va venir, sûrement.
Quand donc ? Ben...
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 16 février 2006
Oh !
Mais c'est qu'on a le temps long...
Écrit par : lamkyre | jeudi, 16 février 2006
Merci à tous de languir ma prose inepte. Je tâcherai d'être intéressant lors du prochain texte.
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 16 février 2006
Oh là là, Jacques mon ami, ton esprit est encore dans le Lot et tu rêves à la campagne. Depuis quand languir est-il un verbe transitif?
Écrit par : Feuilly | jeudi, 16 février 2006
Feuilly, toute l'Occitanie -- une bonne partie de la France, tout de même -- utilise "languir" transitivement. On languit sa femme, la prose d'un auteur, le commentaire d'un ami.
Il y a aussi une autre acception : languir, au sens de "languissant", à savoir : dans un état mélancolique. On dit : "Untel, il se languit".
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 16 février 2006
???
C'est bien ce que je disais, tu es encore dans le Lot.
Personnellement je n'utilise ce verbe que comme intransitif ("il languissait en prison", "la conversation languisait") ou transitif indirect "(il languit d'amour").
On dira aussi: "il languit après une lettre"
Faire languir, par contre est transitif: "faire languir ses parents, il nous fait languir"
Se languir de quelqu'un: "je me languis de toi"
Le pire c'est que le copain Paul Robert est d'accord avec moi. Il précise même que dans le Midi la forme réfléchie s'emploie pour "languir": je me languis chez vous", forme qui m'est familière aussi. Mais jamais dans un emploi transitif direct.
Archaïsme régional de ma part ? Sans doute.
Enfin, bref, tout cela pour dire que nous nous languissons tous et attendons avec impatience le prochain article.
Enfin, même si la pression monte, il ne faut pas te sentir obligé.
Écrit par : Feuilly | jeudi, 16 février 2006
Bon allez, défaites les bagages, rangez la crème solaire et mettez les photos en ligne, on vous attend.
Écrit par : Jul | jeudi, 16 février 2006
Crème solaire ? Vous voulez rire, Jul ? Moi, mettre un machin comme ça ? Beurk !
Feuilly, je ne dis pas que Robert a tort, je te dis que quelques dizaines de millions de personnes en France disent cela.
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 16 février 2006
Nous sommes moins en Belgique, mais nous crions plus fort.
Écrit par : Stéphane De Becker | jeudi, 16 février 2006
De l'autre côté de la grande bleue, on s'époumonne!!
Écrit par : Diane | jeudi, 16 février 2006
Les Belges sont des gens terribles quand ils demandent quelque chose, il y en a déjà trois au moins qui se sont exprimés, et on ne sait pas du tout comment cela va tourner ensuite si on les fâche... D'ici à ce que ce blogue devienne surréaliste, il n'y a pas loin... Je me méfierais !
Écrit par : Dominique | jeudi, 16 février 2006
Maman, fais-moi peur !
Écrit par : lamkyre | jeudi, 16 février 2006
Diable, que de passion, nous avons beaucoup de chance. Merci pour votre amitié.
Vous savez, je l'ai dit souvent, notamment dans Les Mémoires du taulier, je n'ai pas forcément quelque chose à dire et je ne veux surtout pas me demander : "Que pourrais-je bien leur raconter aujourd'hui ?"
Pas de journalisme, pas de clientélisme, sont mes principes pour ce qui est du blog (ainsi que, le dirai-je jamais assez : pas de prosélytisme). Toutes mes notes sont authentiques, même si elles ne sont pas intéressantes. Il n'est pas question de fabriquer du texte. N'ayant rien de très nouveau à raconter en ce moment, je me tais. Mais ça reviendra.
Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 16 février 2006
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