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dimanche, 01 janvier 2006

1er janvier

Si vous décidez de poursuivre votre promenade dans ma rue

Si vous décidez d’en visiter tous les numéros

Si vous décidez d’emménager dans un des immeubles qui la bordent

Bonne année

Si vous décidez autre chose

Bonne année

C’est vous qui choisissez

07:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (17)

Commentaires

Je viens squatter vos commentaires, Jacques, et vous souhaite une bonne et heureuse année, à vous et à Martine (puisque ce blog est écrit à quatre mains).

Amusante cette bannière de Patrick Dalmasso, elle me fait penser à un dessinateur (j'ignore son nom), dont les affiches étaient placardées dans mon école, quand j'étais en classe primaire — ce qui remonte à au moins 25 ans.

Écrit par : Sébastien | dimanche, 01 janvier 2006

Si de Franklin la rue est toujours en vacances,
Un diable malicieux est pourtant parvenu
De nos deux Layani tromper les confiances
Et de poster ici : leur secret est connu.

Bonne année à tous avant que ce blogue ne disparaisse dans les flammes.

Écrit par : Stéphane De Becker | dimanche, 01 janvier 2006

On peut programmer une note, Stéphane. Elle sera publiée à l'heure et au jour que l'on souhaite.

Écrit par : Dominique | dimanche, 01 janvier 2006

Disparaisse dans les flammes!!
Stéphane, seriez-vous un oiseau de malheur?
Comment pourrais-je me passer des humeurs de Jacques?
De la plume de Martine?
Du Café Campo?
Impossible de trouver ailleurs ce climat, comment dire? Par che-nous on dirait un goût de r'venez-y..

Entéka, je souhaite longue vie au 14rue Franklin et une bonne année à vous deux ainsi qu'à Fanny.

P.S. Oubliez Breton. Fuligineuse a raison, c'est un prétentieux..

Écrit par : Diane | lundi, 02 janvier 2006

Je compte continuer à fréquenter cette rue, mais il semblerait que le goudron ne soit plus changé tous les jours - y a du laisser-aller...

Écrit par : Guillaume Cingal | lundi, 02 janvier 2006

Dominique : « On peut programmer une note, Stéphane. Elle sera publiée à l'heure et au jour que l'on souhaite. »

Et l'on peut faire ça ? Ce n'est pas de la triche ?
Hé bien, pour faire ça, il faut être bien riche...

Diane : « Disparaisse dans les flammes!!
Stéphane, seriez-vous un oiseau de malheur? »

Mais non ! Car tel Phénix, renaissant de ses cendres,
Ce blog, plus que jamais, va bien se faire entendre.

Écrit par : Stéphane De Becker | lundi, 02 janvier 2006

DSB : Et l'on peut faire ça ? Ce n'est pas de la triche ?
Hé bien, pour faire ça, il faut être bien riche...

Lorsque je publie un machin à six heures du matin, vous pouvez être presque certain que je l'ai écrit la veille parce que je prépare alors mon café. Bien sûr, si je m'étrangle et m'étouffe en voyant la une de Libération qui est publiée à 6 h 01 et que je fais part de mon émoi à 6 h 02, c'est différent.

Écrit par : Dominique | lundi, 02 janvier 2006

Chers amis,

Merci de vos voeux et de tous vos messages. Nous venons de revenir à Paris, après quelques jours passés dans le Lot.

Stéphane : bien sûr, cette note était programmée, elle s'est publiée toute seule.

Sébastien : ce dessin est extrait d'une affiche d'Hervé Morvan (1917-1980).

Les bannières vont recommencer leur petit manège.

Écrit par : Jacques Layani | lundi, 02 janvier 2006

Meilleurs voeux, Jacques et Martine ! Que la paix et les choix heureux emplissent votre année !

Écrit par : lamkyre | lundi, 02 janvier 2006

Merci, Lamkyre, de vos souhaits ; j'en aime particulièrement la formule.

Merci d'ailleurs à tous nos amis qui ont eu des pensées pour notre carnet ; restez longtemps dans nos spirales.

Écrit par : Martine Layani | lundi, 02 janvier 2006

Je souhaite à la taulière, au taulier et aux clients, que cette année leur soit belle, douce et passionnante.

Écrit par : Livy | mardi, 03 janvier 2006

Merci Livy. Le taulier espère que personne ne se lassera de sa soupe de légumes ni de son gratin de courgettes.

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 04 janvier 2006

S'il ajoute le tiramitsu aux fruits rouges en dessert, je veux bien faire la vaisselle après.

Écrit par : Livy | mercredi, 04 janvier 2006

"C'est une rue tranquille. Les autos y passent si rarement que l'on pourrait jouer à la marelle sur la chaussée. Il y a quelques magasins d'usage courant et de mine provinciale. Des personnes vont et viennent d'un pas raisonnable. Quand elles traversent, elles regardent d'abord à gauche ensuite à droite joignant le civisme à l'excès de prudence. Zazie n'est pas tout à fait déçue, elle sait qu'elle est bien à Paris, que Paris est un grand village et que tout Paris ne ressemble pas à cette rue. Seulement pour s'en rendre compte et en étre tout à fait sûre, il faut aller plus loin. Ce qu'elle commence à faire, d'un air dégagé"

Bonne année à tous et espérons que les promoteurs de tous poils préservent la rue Franklin.

Écrit par : Feuilly | mercredi, 04 janvier 2006

Merci Feuilly pour cet extrait, bien choisi, de Zazie.

La rue Franklin où je suis né, à Alger (chez mes grands-parents), me paraissait fort large, elle l'est encore dans mon souvenir. Et puis, il y a deux ans à peu près, j'ai vu une photo sur internet, une mauvaise photo d'ailleurs, qui en montrait l'amorce. Elle m'a semblé si petite. C'est toujours comme ça, paraît-il. Je dis "paraît-il" parce que je n'ai jamais plus revu les lieux de mon enfance depuis 1962.

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 04 janvier 2006

Ne me dis pas que tu ne te sens pas un petit peu "de là-bas". L'endroit où l'on passe son enfance se grave à jamais dans nos souvenirs. Nous l'idéalisons, c'est certain. Mais en même temps, cette idéalisation n’en est pas une. Pour nous, cet endroit était bien comme il est resté dans notre mémoire car la réalité vue avec des yeux d’enfant prend une tournure autre. L’enfant est poète, qu’on le veuille ou non. Et puis il perçoit le côté merveilleux du monde. Après tout cela disparaît au profit de l’expérience et de la maturité. Il nous faut alors faire un effort pour revenir à la poésie et à l’émerveillement premier.

Écrit par : Feuilly | mercredi, 04 janvier 2006

"Là-bas" : je ne savais pas que cette expression avait cours aussi en Belgique. :-))

Non, je ne me sens pas de "là-bas" parce que je ne sais plus d'où je suis : j'ai connu quinze adresses dans ma vie, dans des lieux aussi divers et éloignés que possible. Et cela continuera sans doute.

Je me sens de mon enfance, ça oui, mais c'est le lot de tous.

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 04 janvier 2006

Les commentaires sont fermés.