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jeudi, 27 octobre 2005

Du côté de chez Guillaume

Une discussion sur l’enseignement s’ébauche chez l’ami Guillaume. Je la relaie volontiers.

Commentaires

Je la copie ici : C'est vrai, les groupes ont un réflexe de défense, surtout s'ils sont soudés par l'échec. N'est-ce pas alors qu'il faut déclencher l'opération Charme ?


Il existe une dynamique des groupes sur laquelle on souvent ignorant ou impuissant. Je sentais un rejet, je me suis enfui et cela m'était facile puisque je n'étais astreint à rien. Je vois parfois des classes où l'atmosphère est infecte, pas à cause des élèves individuellement, mais de leur histoire. Cela m'est arrivé l'an dernier : j'avais une classe où il existait une sorte de guerre des tranchées entre deux groupes de filles, parfaitement visible dans la géographie de la salle. Et je vais être clair : j'ai échoué avec cette classe qui est partie à vau-l'eau et qui a fini par me tenir responsable du mauvais climat.

C'est très difficile pour l'élève qui ne peut se sortir du groupe ou pour le professeur qui ignore presque tout de ce qui s'est passé en dehors de sa présence (surtout si cela a eu lieu sur MSN comme dans mon exemple). Le charme ne suffit pas, il faut aussi la compréhension du passé afin de ne pas être entraîné dans un tourbillon de choses que l'on ne maîtrise plus. Ça passe mieux avec le charme, oui, mais jusqu'où en faire ?

Écrit par : Dominique | jeudi, 27 octobre 2005

Cher Jacques,

ton site apparaît en trackback sous ma note. Je ne suis pas sûr que c'est ce que tu voulais faire. Supprimé-je le trackback (ou rétrolien)?

Écrit par : Guillaume | jeudi, 27 octobre 2005

Oui, tu le supprimes, s'il-te-plaît. Mais ce n'est pas moi qui l'ai fait. Je croyais que c'était toi...

Écrit par : Jacques Layani | vendredi, 28 octobre 2005

Dominique, je parlais de charme à propos des collègues, pour tenter de faire disparaître ce sentiment d'échec. Evidemment, avec les élèves, c'est une autre affaire. Le charme agira aussi, mais très différemment. En tout cas, j'aime votre humilité. C'est la première fois que j'entends un professeur avouer publiquement qu'il a échoué avec une classe.

Écrit par : Jacques Layani | vendredi, 28 octobre 2005

Jacques, je pense que ce système de rétroliens se fait automatiquement. Donc, ce n'est ni toi ni moi...

Écrit par : Guillaume | vendredi, 28 octobre 2005

C'est un système que l'on peut accepter ou non. Dans le tableau de bord, on peut modifier les préférences comme celle-là. Par exemple, on peut choisir de ne pas envoyer des pings, de ne pas être indexé dans un annuaire ou de ne pas permettre les rétroliens. Luc Bentz a ainsi viré les trackbacks anglo-saxons, je les ai conservés. Le mieux, c'est de prendre le lien permanent ou l'adresse URL de la note, pas le trackback.

Écrit par : Dominique | vendredi, 28 octobre 2005

J'ai interdit les trackbacks, de toute façon, depuis hier, en voyant celui qui s'était installé chez Guillaume.

Écrit par : Jacques Layani | vendredi, 28 octobre 2005

Euh oui... On ne pourra plus en faire pour votre blogue, mais ne copiez pas les trackbacks chez les autres aussi : votre début de note et l'adresse URL s'afficheraient alors automatiquement ailleurs. C'est ce qui s'était produit.

Écrit par : Dominique | vendredi, 28 octobre 2005

"ne copiez pas les trackbacks chez les autres aussi" : moi ? Mais je n'ai rien fait du tout, j'ai pas copié, m'sieur ! Je ne comprends rien à tout ça.

Écrit par : Jacques Layani | vendredi, 28 octobre 2005

Les commentaires sont fermés.