lundi, 19 septembre 2005
Ainsi parlait le paysage, 3
Dans les deux précédentes notes de cette série, parues dans l’ancien blog, le paysage interdisait, puis commandait.
Ici, il réserve, ce qui est au fond une façon d’interdire. Quant aux marchés, il en existe vraiment de toute sorte.
Quand je pense que quelqu’un a écrit un livre intitulé On n’emporte pas les arbres. Ce n’est même pas vrai...
07:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.