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mardi, 28 octobre 2008

Sauter des pages

Aujourd’hui, et toujours sur internet, un des seuls véritables articles concernant le Fleming. C’est-à-dire un texte qui ne se contente pas de reprendre le communiqué de presse ou la quatrième de couverture. Comme chaque fois, ce qu’on me reproche, c’est ce que je suis, ce qui est moi, ce qui, dans le livre, est du Layani pur et simple. Une façon de voir les choses, de les affirmer en les étayant, de creuser des situations, d’analyser, de donner un point de vue détaillé. Voilà que, pour la première fois, le plumitif de service recommande à ses lecteurs de sauter purement et simplement certains passages au motif qu’ils seraient trop ardus – ces mêmes passages auxquels, évidemment, j’ai apporté le plus de soin, le plus de rigueur, pensant qu’ils étaient infiniment nécessaires et ne désirant qu’une chose : partager ce que je savais ou découvrais au fur et à mesure de mon travail. Bien sûr, tout cela n’a aucune importance.

Commentaires

Ah la la, ces gens qui recherchent systématiquement la facilité me déconcertent, m'attristent même souvent.

A mon sens, ce livre est une bible pour tous les coreligionnaires de James Bond, qu'ils aient lu Ian Fleming ou pas. Mais je t'en reparle bientôt...

Écrit par : Richard | mercredi, 29 octobre 2008

Ah, merci Richard.

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 29 octobre 2008

"Les néophytes(...) seraient presque tentés de lire les romans qui ont l’air autrement plus intéressants que les adaptations.

Ce "presque" m'inquiète. Cela veut dire que tu serais arrivé à démontrer que les livres sont supérieurs aux films et que pour un peu on se laisserait aller à ouvrir un livre (pour la première fois de sa vie).

Écrit par : Feuilly | jeudi, 30 octobre 2008

C'est bien ainsi que je le comprends, tu sais.

Écrit par : Jacques Layani | jeudi, 30 octobre 2008

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