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mardi, 15 mai 2007

Trombinoscope des buveurs de soupe

La gueule des traîtres en couleurs. Comme ça, vous les reconnaîtrez dans la rue, le jour où vous aurez envie de cracher.

 

http://www.lemonde.fr/web/portfolio/0,12-0@2-823448,31-90...

09:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (17)

Commentaires

Rappelons cette définition argotique de soupeur :
http://www.languefrancaise.net/glossaire/detail.php?id=19593&PHPSESSID=046c35dc8c109afc453352fc0853d08b

Écrit par : Dominique | mardi, 15 mai 2007

Dominique, shame on you ! J'avais évité le terme et écrit "buveurs de soupe" dans le titre, par délicatesse, voyons. Je parlais justement hier à Martine de cette acception.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 15 mai 2007

Il n'y aura bientôt plus de place pour les gens de l'UMP.

Écrit par : Feuilly | mardi, 15 mai 2007

C'est ce qui fait râler Devedjian. Bien fait pour sa gueule.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 15 mai 2007

J'ai oublié le nom de ce jeu pour lequel il faut pousser des lettres dans un cadre rigide n'ayant qu'une case vide afin de remettre toutes les lettres dans l'ordre... La politique en ce moment m'y fait vraiment penser.

Écrit par : Martine Layani | mardi, 15 mai 2007

Du nouveau, tout frais :
http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=11442

Écrit par : Dominique | mardi, 15 mai 2007

De mieux en mieux ! La mascarade est à son comble. Qui prendra encore au sérieux la classe politique française, voire la presse française ? Ecoeurant. Le procédé est écoeurant mais qu'on ait pu se le permettre montre suffisamment, il me semble, à quel niveau on est tombé. On n'aurait pas osé, autrefois.

Martine : le pousse-pousse. Un des jeux les plus charmants de mon enfance. On pouvait former des mots avec. Extraordinaire. Former des mots ! Déjà, j'en étais fou.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 15 mai 2007

Le coupable ? Ce fichu système libéral qui tire tout, y compris la presse, vers le bas. Pour pondre un article ou bien sortir dans une colonne, que ne ferait-on pas ? Il y a beau temps que je ne crois plus à une quelconque innocence de la part des gens médiatiques, de quelque côté qu'ils se trouvent.
Quelqu'un l'a dit déjà : il n'y a plus rien, plus, plus rien !

Écrit par : Martine Layani | mardi, 15 mai 2007

Tiens, pour poursuivre le débat qui se tient dans un autre billet, au sujet du "fascisme" prétendu ou réel de Sarkozy...

Cette manière d'évincer des membres de son sérail pour tendre à la main à ses adversaires politiques de la veille, elle, m'inquiète beaucoup : en écartant ceux qui se sont battus à ses côtés et en allant chercher un ou deux socialistes alors que le résultat des urnes ne l'y contraint nullement, Sarkozy semble fonctionner comme les chefs d'Etat autocratiques qui soufflent le froid et le chaud et décident d'embastiller dimanche celui qui, le vendredi, était encore leur plus proche conseiller.

Au lieu d'un gouvernement fondé clairement sur une idéologie droitière/UMP et sur une majorité parlementaire claire, on risque de voir émerger un système ultra-personnel, et plus autocratique que jamais sous la 5ème (ce qui n'est pas peu dire)...

Écrit par : Guillaume Cingal | mardi, 15 mai 2007

J'ajoute que la façon dont ces messieurs (puisque seuls des hommes de gauche ont été approchés, me semble-t-il) se présentent bien frétillants, la queue entre les jambes, augure mal de la vigueur réelle de l'opposition politique à Sarkozy.

(D'ailleurs, c'était la raison de mon refus de voter pour Ségolène Royal : il est hors de question de porter à la tête de l'Etat une clique qui n'a même pas su tenir convenablement le rôle d'opposant, pourtant moins difficile, et qui, comme le montre la comédie de ce début de semaine, est prête à retourner sa veste comme qui rigole.)

Écrit par : Guillaume Cingal | mardi, 15 mai 2007

Eh oui, ce qui nous attend -- et qui n'attend pas très longtemps, justement -- me fait désespérer au sens propre. Une seule question se pose à présent : COMMENT ? Le Quand est en marche, toujours, c'est la loi de l'action/répression/action.

Écrit par : Martine Layani | mardi, 15 mai 2007

Vous avez raison, Guillaume. L'attitude de Sarkozy est semblable à celle des princes persans ou turcs. Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelait le petit vizir.
Tout le monde va venir lui manger dans la main, à droite comme à gauche. Il ne suffira pas d'être fidèle, il faudra en plus faire toutes ses volontés pour recevoir une faveur.
Je ne comprends toujours pas comment 53% de la population peut apprécier cela.

Écrit par : Feuilly | mercredi, 16 mai 2007

Je ne sais pas... 100% de la population a pu constater qu'il n'y avait aucun projet politique en face... c'est presque miraculeux, dans un tel contexte, que "la gauche" ait pu atteindre 47% des voix... sur un simple rejet...


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Je croyais que la référence au vizir venait d'Iznogoud (Sarkozy qui voulait être à la place de Chirac-el-Pacha ; c'est fait).

Écrit par : Guillaume | mercredi, 16 mai 2007

Oui, c’est bien cela : être calife à la place du calife. Dans la BD il n’y arrive jamais.

Écrit par : Feuilly | mercredi, 16 mai 2007

On pourrait parler de l'opération de Télé-7 jours : ce magazine offrait la semaine dernière le DVD du film Iznogoud en supplément pour une somme modique. Les suppléments DVD de Télé-7 jours ont commencé il y a un bon mois ou deux, mais cette coïncidence avec le résultat de l'élection est troublante, d'autant que le surnom un peu facile que de faux opposants donnent à Sarkozy permet d'espérer des ventes auprès d'un public qui croira être contre ses valeurs ou ses idées en regardant un navet joué par des ringards infinis qui sont la quintessence du sarkozysme...

Écrit par : Dominique | mercredi, 16 mai 2007

Un truc amusant au sujet de Kouchner qui s'estimait mal traité par le PS : il ne s'est jamais présenté à une élection unipersonnelle au suffrage universel, mais toujours à des élections proportionnelles. Le PS lui avait pourtant proposé des circonscriptions assez faciles pour se faire élire comme député et il a toujours refusé parce qu'il avait peur du score sur son nom ou d'un échec éventuel (mieux vaut une place sur une liste). Et alors que l'ensemble des nouveaux ministres vont devant les urnes (sauf cette faux-cul de Rachida Dati qui a toujours fui ses responsabilités en changeant sans arrêt de poste et de qualification tous les ans), notre Kouchner ne se présente toujours pas à la députation. Mais enfin ! de quoi a-t-il donc peur ? de la même chose que Rachida Dati ? d'être juste des objets médiatiques pris dans une liste ? que l'on voit le vide enfin ?

Écrit par : Dominique | samedi, 19 mai 2007

Ce n'est pas pour rien qu'ils sont très amis, ceux que j'ai appelés "les amants d'Al Capone". Ces personnages sont les pièces d'un jeu, sans plus.

Écrit par : Jacques Layani | samedi, 19 mai 2007

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