samedi, 17 février 2007
Encore un lieu de la maison Layani
Le taulier, estimant que trois sites et trois blogs, c’est peu de chose, vient d’ouvrir un quatrième blog consacré à une chanteuse qu’il aime depuis longtemps, depuis trente ans, depuis mille ans, Marie-Paule Belle. Dans la colonne de gauche, un lien indique le chemin à ceux, parmi les promeneurs de la rue Franklin, que cela intéresserait éventuellement, en admettant qu’il y en ait (des intéressés, pas des promeneurs).
20:45 Publié dans Art | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
Pas de nouveau message sur ce blog depuis 11 jours, c'est long, bien trop long. J'espère que le taulier et sa douce taulière n'ont pas mis la clé sous la porte. Ne nous faites plus languir. S'il le faut, je lance une pétition !
Écrit par : Pierre B. | mercredi, 28 février 2007
Tandis que vous manifestiez sous mes fenêtres, Pierre, je mettais le point final à la note que vous pouvez lire à présent.
Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 28 février 2007
J'ai le sentiment aussi d'un blog en panne...
Sinon une faute marrante et honteuse sur le blog de P. Assouline ce matin:
"En vain car il s’enfuya en Italie, se réfugia dans une maison d’Ischia où il était harcelé par les reporters et surveillé par des agents en civil, échappa à ses interrogateurs venus d’Angleterre, disparut dans le nord puis à nouveau en Amérique."
Écrit par : gluglups | lundi, 12 mars 2007
Mais non, pas en panne. Beaucoup de choses sont écrites ailleurs, le taulier fatigue.
Je rappelle ce que j'ai toujours dit à propos de ce lieu : je ne veux pas écrire pour écrire, publier pour publier. Je ne veux pas avoir à me demander : "Qu'est-ce que je pourrais bien écrire pour renouveler un peu ce carnet ?" L'authenticité de ces notes est garantie par leur côté jamais systématique. Cela ne signifie pas qu'elles soient intéressantes ou de grande valeur, mais elles sont toujours authentiques.
Écrit par : Jacques Layani | lundi, 12 mars 2007
L'erreur de Passouline a été supprimée:
"En vain car il s’était enfui en Italie, réfugié dans une maison d’Ischia où il était harcelé par les reporters et surveillé par des agents en civil."
Mais le commentaire signalant cette erreur l'a été également...
Écrit par : gluglups | lundi, 12 mars 2007
C'est ce qui se passe toujours chez Assouline. Il est fréquent que les commentaires soient supprimés.
Il a été dit et redit ici et ailleurs que ce type ne sait pas écrire et que, selon toute vraisemblance, ses livres sont entièrement repris avant publication par des correcteurs ou qui que ce soit faisant office de correcteur dans la maison d'édition qui l'accueille. Cet homme est une imposture vivante : sa culture est très superficielle, sa langue pauvre et il ignore la grammaire. Quant à sa syntaxe, c'est du caramel mou.
Écrit par : Jacques Layani | lundi, 12 mars 2007
Triste reflet de l'édition, donc, puisque le vrai mérite de la création littéraire revient aux nègres (ou aux correcteurs) qui travaillent dans l'ombre. Comme quoi l'esclavage n'est pas encore tout à fait aboli...
Je suis fatigué de cette société où des auteurs qui n'ont pas écrit leur livre se font interroger par des journalistes qui ne l'ont pas lu. Tout cela pour obliger les lecteurs à acheter le livre en question. Mais comme de toute façon le but est de pouvoir en parler sans même l’avoir lu, alors tout est permis.
Bon, je caricature un peu, mais il y a de cela.
Écrit par : Feuilly | lundi, 12 mars 2007
Non, tu ne caricatures pas. Et ces gens-là tiennent tout en mains et verrouillent tout.
Écrit par : Jacques Layani | lundi, 12 mars 2007
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