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lundi, 31 juillet 2006

Télégramme

Suis de retour à Paris pour semaine de permanence. Stop. Repartirai samedi. Stop. Amitiés à tous. Stop. Layani.

15:25 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (4)

Commentaires

Bonjour, Jacques.
Vous êtes, comme on dit, d'astreinte ?
Si cela peut vous consoler, dites-vous que le Toulousain de hasard que je suis a trouvé à Paris, lundi et mardi de la semaine dernière, un air bien plus léger qu'à Toulouse (en dépit d'une chaleur qui était encore forte). Acheter un vrai croissant chez un vrai boulanger de la rue Daguerre, à 7 h 30 le mardi matin, fut un délice. L'air était presque frais. On respirait.
Continuez à dire (car vous le dites dans nombre de vos textes) que, Parisien, vous êtes un homme heureux. Ici, ça fait ricaner quand c'est moi qui me définis comme un villageois de Paris. Comme cela, je pourrai vous citer !
Bon courage à vous.

Écrit par : Dominique Autié | mardi, 01 août 2006

Je suis d'astreinte, oui. Il fait effectivement plus frais ces jours-ci... mais, dans les bureaux, pas tellement. Vous savez, je vis en banlieue (proche, heureusement) et ce n'est pas exactement la même chose que vivre à Paris même.

La ville de Paris, en soi, me plaît beaucoup. On y trouve une lumière étonnante et, en certains endroits, une fort belle architecture. Quelques paysages, aussi. C'est la vie parisienne qui m'épuise.

Enfin, samedi matin, je serai quand même gare d'Austerlitz, au train de Gourdon !

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 01 août 2006

C'est vrai que les parisiens sont bien énervés, cela dit, ayant revisité New-York récemment, j'ai pu vérifier qu'il y a tout de même, quoiqu'on pense des parisiens, un art de vivre qui, à moi du moins, convient infiniment mieux que la folie new-yorkaise. Vous me direz que faire du tourisme et vivre dans une ville n'ont rien à voir, bien sûr, mais justement, l'architecture, la lumière, les paysages. permettent au touriste à Paris de souffler, de ralentir malgré le rhytme infernal. Il m'est impossible de faire semblant que j'habite New-York, alors qu'à Paris, je peux me raconter des histoires et y croire...

Écrit par : Benoit | mardi, 01 août 2006

Je ne connais pas New York et je vous crois sur parole.

Ce qui m'inquiète à Paris comme, sans doute, ailleurs, c'est le changement qui s'est produit depuis trente ans. J'ai été nommé en région parisienne en 1976. Je connaissais déjà très bien Paris pour y être venu et y avoir séjourné de très nombreuses fois. La vie, en 1976, me paraissait déjà difficile. A présent, rétrospectivement, elle me semble dérisoirement facile, au contraire, par rapport à aujourd'hui.

Je me dis que c'est certainement ça, vieillir, c'est trouver que c'était mieux avant. Toujours. C'est pourquoi je me garde bien de cela, mais c'est compliqué.

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 02 août 2006

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