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samedi, 04 février 2006

L'Affiche rouge... plus deux

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Était-ce l’influence du poème d’Aragon, ultra-connu sous le nom de L’Affiche rouge ? Je pensais que tous les membres du groupe Manouchian avaient cessé de vivre, un jour, « quand les fusils fleurirent ». Vingt-trois condamnés.

Ils étaient vingt-cinq. Il y a deux survivants et l’un d’eux, Arsène Tchakarian, quatre-vingt neuf ans, est venu parler aux élèves d’une classe de troisième, au collège Chérioux à Vitry-sur-Seine. Cette rencontre s’est faite à l’initiative du professeur d’histoire, Géraldine Nari. Tchakarian a témoigné mais l’article du journal du Conseil général, Connaissance du Val-de-Marne, est très elliptique. Il ne parle pas, non plus, de l’autre survivant.

19:35 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (3)

Commentaires

Tu me l'apprends aussi... fichtre !

Écrit par : Fanny | dimanche, 05 février 2006

Eh bien voilà. La poésie a toujours une forte influence. Quand elle narre des circonstances dramatiques, c'est encore plus vrai. Les nazis avaient bien démantelé le réseau Manouchian, certes, en fusillant vingt-trois de ses membres. Le chant d'Aragon ne parlait que de ceux-là. Les deux qui, par quelle chance extrême, en ont réchappé ont été oubliés. Heureusement, ce professeur d'histoire était plus au courant que nous.

Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 05 février 2006

Tu sais ce qui te reste à faire, Fanny. Tu fais venir ce monsieur dans ta classe. La collègue de Vitry t'indiquera son adresse. Et tu me racontes ça.

Écrit par : Jacques Layani | dimanche, 05 février 2006

Les commentaires sont fermés.