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mardi, 13 septembre 2005

Pour commencer

Et voilà.

Je n’allais pas me taire, tout de même. Je ne me suis jamais tu. « La bêtise au front de taureau » dont parlait Baudelaire n’emportera pas tout sur son passage. Il suffit de renaître, c’est très facile. Pour cela, un retour au lit qui nous vit apparaître est rapidement fait. 14, rue Franklin, je suis venu au monde, « sous le signe du paratonnerre » comme je me plais à le dire, pour plaisanter.

14, rue Franklin, je renais aujourd’hui. Mon décès aura duré vingt-quatre heures. Bienvenue.

Évidemment, créer un lieu public et en limiter l’accès peut paraître paradoxal, surtout pour quelqu’un qui ne vit que pour partager. Qu’y faire ? Il faut avancer. Trop peu d’énergie pour lutter contre les abrutis et les jaloux… Trop vieux pour ça, peut-être.

On repart.

11:25 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (40)

Commentaires

Ah ben tiens ! J'ai une particulière affection pour Franklin qui a été un journaliste vraiment très drôle et fort logique.

Écrit par : Dominique | mardi, 13 septembre 2005

Bonjour Dominique. J'ai changé la couleur, la police et le modèle. C'est l'automne, c'est la rentrée, vive la vie. Je vous salue.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Voilà une vraie bonne nouvelle !
Dessinons des petits poissons sur le sable, du bout de nos semelles, comme au temps des catacombes. Puisqu'ils le veulent ainsi.
Merci de repartir.

Écrit par : Dominique Autié | mardi, 13 septembre 2005

Ne vous tracassez pas. Libre à chacun, au fil des discussions, de vous soumettre l'idée d'un nouveau participant que vous serez libre d'adouber. Lorsqu'erreur il y aura eu, à vous de changer le mot de passe pour que l'importun se retrouve à la porte. Peu élégant, mais dans certains cas extrêmes, c'est ainsi que l'on protège sa quiétude.

Écrit par : Tanguy Cardo | mardi, 13 septembre 2005

Bonjour Tanguy, merci pour votre célérité à venir dans ma rue.

Oui, vous avez raison. Pourtant, je ne cherche pas a priori la quiétude. La loyauté suffirait. Malheureusement, on n'en trouve guère sur les marchés.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Ah ! Je le disais bien que c'était trop triste une voix qui se tait.
Une rue, ça s'inaugure avec des ballons ?
http://www.umsatz-gewinn.de/bilder/hstein%20ballons.jpg

Écrit par : lamkyre | mardi, 13 septembre 2005

Bravo pour votre capacité de rebond, Jacques ! Sincèrement, je ne pensais pas que vous créeriez un blog de sitôt, après les déboires que vous avez connus. Je suis enchanté de la naissance de ce nouveau blog, auquel je souhaite une longue vie.

"14, rue Franklin", c’est un peu ironique comme titre. Vous attirez la foudre, on ne sait comment, malgré votre extrême gentillesse. Maintenant que vos lecteurs sont sélectionnés, espérons que vous n’aurez plus besoin de paratonnerre.

Il va falloir que s’agrandisse le cercle, dites-vous, mais le cercle n’est-il pas déjà grand, avec toutes ces personnes qui fréquentaient votre ancien blog et votre forum ?

Écrit par : Sébastien | mardi, 13 septembre 2005

Lamkyre : merci de l'attention. C'est gentil d'avoir pensé à l'inauguration.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Ca m'aurait étonné aussi que vous baissiez les bras ! Merci d'avoir créé un nouvel espace de dialogue, de m'y avoir, cette fois-ci, invité. Et bienvenue chez vous.

Écrit par : Jul | mardi, 13 septembre 2005

Sébastien : j'ai rebondi immédiatement parce qu'en fait, je n'avais pas cessé de moi-même. Si j'avais décidé de fermer la maison, je ne serais pas revenu le lendemain. Mais j'ai été chassé, ce qui n'est pas acceptable.

Je suis vraiment né 14, rue Franklin, vous savez...

Je n'ai convié que quelques personnes. Il y aura bien moins de monde maintenant, puisque le blog, par définition, ne peut plus être lié par personne et que les nouvelles notes publiées n'apparaîtront pas sur la page d'accueil de Haut et Fort. J'ai bloqué tout ça.

A tous : cela dit, il va de soi que de vous avoir donné un double des clefs ne vous oblige en rien, bien sûr. Si les prochaines notes qui viendront à être publiées ici ne vous intéressaient pas, surtout, ne vous croyez pas tenus de les commenter. Il n'y a pas de liberté sans confiance et réciproquement.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Jul, salut, petit. Vous savez, les amis, sauf erreur de ma part, Jul doit être le plus jeune d'entre nous.

Puisque nous en sommes à l'inauguration, je vous propose de porter un toast à Jul et à sa jeunesse.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Longue vie a ce nouveau carnet!

Écrit par : V. | mardi, 13 septembre 2005

D'accord pour le toast puisque je suis "en direct"!
Tchin.

Écrit par : V. | mardi, 13 septembre 2005

Bonjour, V. Un fleuve de blondeur sur ma page automnale...

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Il faudrait récupérer au moins les notes de l'ancien blogue sur celui-ci.

Écrit par : Dominique | mardi, 13 septembre 2005

Vous savez toujours aussi joliment parler aux femmes cher Jacques. Votre epouse a beaucoup de chance!

Treve de plaisanterie, je reviendrai vous lire ici avec joie, habillee peut-etre d'accents la prochaine fois. Et je suis tout de meme decue que vous ayiez eu a fermer l'autre carnet pour des imbecilites...

Écrit par : V., avec un grand sourire | mardi, 13 septembre 2005

Le contenu de l'ancien blog est perdu, Dominique. J'ai supprimé la totalité, le bouton "Supprimer ce compte" ne permet pas les nuances.

V., il ne s'agissait pas que d'imbécillités, mais aussi de calomnies avec usurpation d'identité, qui ont fait immédiatement renaître les problèmes d'il y a quelques mois, vous voyez ça d'ici... Tailler dans le vif était certainement le meilleur moyen, sinon le plus gai.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Et ça ?

http://216.239.59.104/search?q=cache:n3ntIbMrNw4J:lesmotsontunsens.hautetfort.com/+%22le+vieil+homme+et+le+blog%22&hl=fr

Bien sûr, il faut toiletter, mais il est possible de récupérer au moins les notes pendant un certain temps, du moins jusqu'à la prochaine Google Dance.

Écrit par : Dominique | mardi, 13 septembre 2005

On ne peut récupérer que trois notes, les trois dernières ayant figuré à l'écran... Je vais peut-être le faire. Merci.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Pas seulement les dernières :

http://216.239.59.104/search?q=cache:hLPJGH016-4J:lesmotsontunsens.hautetfort.com/archive/2005/06/08/un_homme_de_livres_5.html+%22un+homme+de+livres%22&hl=fr

Il faut prendre titre par titre, et si possible avec le numéro exact dans le cas des suites de textes.

Écrit par : Dominique | mardi, 13 septembre 2005

Voyons voir qui sont les élus de ce paradis-là, ceux qui sont en odeur sylvestre de sainteté…
Tiens, tiens, des têtes connues ma parole ! Saint-Pierre-Paul-Jacques a décidément bon goût.

Écrit par : Siganus Sutor | mardi, 13 septembre 2005

J'ajoute que pour une bonne recherche Google, il faut faire plutôt :
http://www.google.fr/search?q=lesmotsontunsens.hautetfort+&hl=fr&lr=&filter=0

Écrit par : Dominique | mardi, 13 septembre 2005

« En bénissant le nom de Benjamin Franklin je l’ai mis(e) en lieu sûr entre mes bras câlins, et puis l’amour a fait le reeeste… »
Et c’est reparti mon kiki !

Écrit par : Siganus Sutor | mardi, 13 septembre 2005

Bonjour Siganus. L'amour a fait le reste.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Vous avez (encore) raison, Dominique. On peut récupérer beaucoup de choses. Google est plus fort que Haut et Pas-très-fort.

Mais... Est-ce que je désire vraiment le faire ? Je ne sais pas. Je vais procéder à un choix.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Triez, triez, mais sachez que dans moins d'un mois cela ne sera plus possible.

Écrit par : Dominique | mardi, 13 septembre 2005

Mon inquiétude aura été de courte durée !

Ainsi donc, vous aurez finalement du couper le sifflet des singes hurleurs ? Ces histoires d'usurpations d'identités semblent assez fréquentes. Je suis relativement nouveau sur le monde des blogs et continue de m'étonner devant ce que certains font de leurs temps et de leur élans créateurs...

D'ailleurs, en faisant le tour hier des quelques blogs que je fréquente, et après avoir constaté votre absence, j'ai fait un saut sur le site d'Assouline. Nouveau commentaire immédiatement suivi d'une remarque assassine qui lance le tout sur une tangente n'ayant RIEN à voir avec le sujet, et TOUT avec l'envie, l'aigreur, la méchanceté même pas enrobée de style, bref ça devient plus que lassant.

Lorsqu'on a le tort de "posté" un commentaire dénué d'intérêt pour certains, ils se croient obligés de vous insulter manu militari. Ainsi il paraît que j'écris d'excellentes tartes à la crème.

(Souffrez que je vous en fasse parfois goûter quelques variantes. Celle que je vous sert présentement est aux pommes, c'est la saison.)

Évidemment, Le Monde et la notoriété de son blogueur littéraire (maintenant candidat au Goncourt - ça ne va pas s'arranger !) attirent beaucoup d'hyènes, mais tout de même, si j'étais lui, je ne suis pas sûr que je continuerais. C'est déprimant à la longue.

Et pourtant, j'adore une bonne polémique. (Parlant de, je vous recommande le papier de Michel Onfray sur le dernier Houellebecq dans Lire: www.lire.fr/enquete.asp/idC=49037/idR=200).

Mes amitiés Jacques,

Benoit.

Écrit par : Benoit | mardi, 13 septembre 2005

Oh, il n'y a pas eu que des usurpations, Benoît. Enfin, parlons d'autre chose, soyez le bienvenu. Chez vous, c'est le matin. Merci d'avoir ouvert votre journée dans ma voie privée.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Les anciens ont de la chance, ils ont souvent vu le jour dans un lieu insolite, marquant, et déterminant sans doute pour eux.
Aujourd'hui, on nait au mieux dans un hôpital, au pire sur une bretelle d'autoroute. Le pire c'est quand on naît le premier janvier et qu'on est pris en photo avec Bernadette Chirac.
Et puis, être né dans la rue, comme Johnny, comme Jean-Luc, c'est vraiment la classe.
Alors que bizarrement, mourir dans la rue, ça passe pour un fait divers glauque. Allez savoir.
Je raconte vraiment n'importe quoi.

Écrit par : Jul | mardi, 13 septembre 2005

Non non Jul, ce n'est pas n'importe quoi. Effectivement, ce que vous dites sur naître et mourir dans la rue est bien observé. Sans parler de Piaf, dont la légende continue à dire qu'elle est née dans la rue, alors que sa naissance est très officiellement enregistrée par je ne sais plus quelle maternité.

14, rue Franklin, à Alger, c'était chez mes grands-parents maternels, tout simplement. Au troisième étage. Vous savez tout.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Et à Alger on mangeait de la “friture”, c'est bien ça ?

Écrit par : Siganus Sutor | mardi, 13 septembre 2005

Oh, que ne mangeait-on pas à Alger... Au bout du compte, pourtant, c'est là-bas que j'ai le moins vécu ; dix ans seulement.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Mais on imagine aisément que ce sont les années qui pèsent peut-être le plus lourd...

Écrit par : Siganus Sutor | mardi, 13 septembre 2005

Jacques, n'avez-vous pas habité Toulouse un temps ?

Écrit par : Sébastien | mardi, 13 septembre 2005

Siganus : oui, c'est l'enfance, fondatrice, prégnante, immense, rose, douce, tragique, angoissante, chaleureuse, magnifique.

Avec la découverte de Franquin, n'est-ce pas, Dominique ?

Sébastien : non, jamais. Mais je sais qu'il y a à Toulouse des Layani à la pelle.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 13 septembre 2005

Coucou. Bienvenue chez toi et mort aux cons.
Deux choses :
- à Toulouse cet été, j'ai remangé à la pizzeria dont le patron s'appelle Layani. Il a rigoureusement la même tête qu'il y a 10 ans... Rigolo.
- au collège, préavis de grêve déposé pour la semaine prochaine si les problèmes ne sont pas réglés. J'ai ouvert ma grande g*** en heure syndicale tout à l'heure. Eu quelques regards interloqués, mais j'ai "gagné". En attendant, jeudi, ce sont les profs qui feront la vaisselle, et on essaye de récupérer la presse...

Écrit par : Fanny | mercredi, 14 septembre 2005

... t'as pas honte d'avoir éduqué tes filles comme de sales gauchistes contestataires, hein ? ;p

Écrit par : Fanny | mercredi, 14 septembre 2005

Ah, voilà Fanny, la nouvelle génération des Layani. Salut !

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 14 septembre 2005

Dites-donc Jacques, vous qui désiriez un peu moins d'invectives, voilà que ça recommence on dirait (sur les Rapaces) !

Insultes, chantage, mon dieu mon dieu mais c'est le Far West ici !

Je suis étonné par la profondeur des haines suscités par des échanges virtuels. Pas que je sois insensible à la critique, mais comme vous le dites, la vie est trop courte, et de toute façon les insultes proférées par des individus que l'on admire en rien ne laissent pas de marques indélébiles.

Mais je comprends votre lassitude, c'était la même que j'invoquais plus haut.

Et j'ai pourtant quelques années de moins que vous :0)...

Oui à la polémique, non aux règlements de compte: espérons que le 14 rue Franklin ne devienne pas le O.K. Corral, sinon Jacques, vous devrez vous transformez en Gary Cooper...

Benoit

Écrit par : Benoit | mercredi, 14 septembre 2005

Non non, tout ça va s'arranger...

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 14 septembre 2005

Les commentaires sont fermés.