Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 10 mars 2014

Il y a trente ans environ, j’ai écrit mon épitaphe

Il ne pensait jamais comme il fallait penser

Dans cette vie tribale il a connu l’ennui

Il n’aimait que l’amour l’absolu les étoiles

Les femmes et les cœurs ouverts dedans la nuit

Il rêvait d’utopie de livres et de voiles

 

La nature est pliée au bord de l’autoroute

Les forêts ont des gants que l’automne leur offre

Les flaques d’eau déjà de remords s’évaporent

Voilà le siècle meurt et nous passons nos vies

 

Les mots sonnent tout frais dans les matins de France

Ô merveilleux clochers villages du Midi

Qu’ils sonnent dans le vent toute mon espérance

On m’a offert les mots lorsque j’étais petit

12:37 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.