Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 05 novembre 2013

Dans le Lot

 salviac4.jpg

L’immonde taulier et la belle taulière habitent désormais le Lot. Le taulier est en effet à la retraite depuis le 1er octobre. Un changement de résidence et un changement de situation entraînent un  incroyable méli-mélo de démarches administratives dont un bon nombre, jusqu’à présent, n’ont toujours pas porté leurs fruits, en dépit de courriers, appels téléphoniques, messages électroniques… Enfin, on y arrivera.

18:00 Publié dans Humeur | Lien permanent | Commentaires (7)

Commentaires

Le taulier n'est pas immonde, loin de là. Il est intelligent, cultivé, curieux, éclectique aussi comme il le dit lui-même à forte raison. Ses goûts, ses lectures, ses écrits, ses humeurs, ici ou ailleurs, en témoignent : De Léo Ferré à Ian Fleming, de Jacques Demy à Apollinaire, et bien d'autres choses encore.

Je n'ai jamais échangé directement avec la taulière mais je ne doute pas un instant qu'elle soit une belle personne.

Les tracasseries administratives... Que voulez-vous... Nous sommes un pays construit sur une administration centrale depuis l'ancien régime, administration qui s'est renforcée après la révolution de 1789 et la décentralisation n'a fait qu'apporter... d'autres paliers administratifs.

Ce n'est pas pour rien non plus que nous avons cette spécificité des deux ordres de juridiction, une juridiction judiciaire et une juridiction administrative. Parfois c'est lourd effectivement mais c'est aussi parfois une garantie pour les citoyens.

Finalement, les plus pénibles, ce sont les ronds de cuir. Vous en viendrez à bout.

Amitiés

Écrit par : Sébastien | mardi, 05 novembre 2013

Merci, cher Sébastien, vous êtes gentil.
J'entends, dans vos propos, parler le juriste. Juridiction judiciaire, juridiction administrative. Mais quid de services à qui vous notifiez par deux fois et par écrit votre nouvelle adresse et qui continuent d'écrire à l'ancienne ? Quid d'une retraite toujours pas perçue, mais d'un salaire qui continue à m'être versé et que je devrai rembourser je ne sais quand ? Quid de sommes qui sont virées sur mon compte sans que j'ai la moindre idée de ce à quoi elles se rapportent ? Quid d'un organisme qui m'écrit à ma nouvelle adresse en considérant mon numéro de téléphone parisien, qui n'existe plus, comme étant mon numéro dans le Lot et le numéro du Lot comme étant celui d'un portable que, par ailleurs, je ne possède pas ? Et encore, il ne s'agit là que d'exemples comiques, je vous passe les détails.

Enfin, oui, c'est vrai, on les aura.

Amitiés.

Écrit par : Jacques Layani | mardi, 05 novembre 2013

Mince ! Ça fait beaucoup.

Je sais qu'il y a pas mal de problèmes à propos du versement des pensions de retraite depuis quelques mois. J'ai une connaissance qui est en retraite depuis quelques mois qui n'a toujours rien touché et qui n'a plus de salaire non plus. Je ne vous explique pas la galère.

Les déménagements entraînent souvent des tracasseries dont on se passerait bien et qu'on n'imagine même pas.

Écrit par : Sébastien | mercredi, 06 novembre 2013

Eh bien que de nouvelles. Au moins vous ne vous ennuyez pas. Remarquez, chez nous aussi, modestes parisiens, nous avons le droit à notre dose de comique. Vous êtes néanmoins parti juste à temps avant de devoir recroiser dans les couloirs les fantômes du passé.

Amusez-vous bien dans votre nouvelle vie et amitiés à la taulière. Everybody needs hobbies.

Écrit par : Q. | mercredi, 13 novembre 2013

Tiens, voilà le jeune homme prétentieux et sot... Le retour !
Je comptais vous donner des nouvelles ainsi qu'aux autres. Le cirque administratif est à son comble !

(So, what's yours ?)

Écrit par : Jacques Layani | mercredi, 13 novembre 2013

Bonne et belle retraite, Jacques. Ces tracasseries, somme toute très relatives au regard de celles que subissent les professions libérales durant toute leur activité et au-delà, sont peut-être le petit prix à payer avant de se la couler douce en notre douce France.

Écrit par : Richard | lundi, 18 novembre 2013

Certes, tout cela est à relativiser. Cependant, tu sais bien qu'on a toujours tendance à monter en épingle ce qui nous arrive. Il reste que je me demande pourquoi, tout simplement, une situation prévue de longue date ne peut être réglée par des organismes dont c'est la raison d'être, et ce dans le cadre de réglementations bien définies. Au-delà de mon cas personnel, c'est une question que je me pose vraiment.

Écrit par : Jacques Layani | lundi, 18 novembre 2013

Les commentaires sont fermés.